Le facétieux plasticien italien profite de la « carte blanche » de l’institution pour déjouer toutes les attentes en juxtaposant 400 œuvres issues de la collection du Musée national d’art moderne, à Paris, avec une quarantaine des siennes.
Le facétieux plasticien italien profite de la « carte blanche » de l’institution pour déjouer toutes les attentes en juxtaposant 400 œuvres issues de la collection du Musée national d’art moderne, à Paris, avec une quarantaine des siennes.