« La chair est triste hélas », « Ô Guérillères », « King Kong Théorie » : à la rentrée, le féminisme brûle les planches

Depuis plusieurs mois, le théâtre est devenu une place forte de la pensée féministe à travers les adaptations de manifestes et pamphlets signés Monique Wittig, Ovidie ou Virginie Despentes. Face au « backlash » que connaît le mouvement MeToo, actrices et metteuses en scène y trouvent un espace où faire entendre la radicalité de ces textes.

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